02 novembre 2008

Interet grandissant des sciences pour la musicotherapie

Un grand nombres d'études scientifiques sur les effets de la musique passive, improvisée ou sur la musicothérapie sont en cours ou ont été menées. J'ai trouvé cet extrait sur Pubmed, moteur de recherche des études biologiques et médicales. En tapant "music therapy" dans Pubmed, on peut accéder à un millier d'études consacrées à la musicothérapie. 

Etude de M. Fukui sur les effets de la musique sur la genèse et la régénération des neurones (en anglais).

Et maintenant  en français : 

"La musique facilite la genèse, la régénération, la réparation des neurones."

L'expérience a montré que la thérapie utilisant de la musique dans une intention thérapeutique a certains effets sur les désordres neuropsychiatriques, (aussi bien fonctionnels qu'organiques).

Pourtant, les mécanismes d'actions sous-jacents de la musicothérapie restent inconnus et l'éclairage scientifique n'a pas avancé. Pendant que telle étude réfute l'effet Mozart, les effets de la musique sur le cortps et l'esprit humain ne son pas contestés . 

En fait, le plus grand nombre d'études scientifiques sur la musique ont été conduites dans les années récentes, principalement dans le champs des neurosciences, et le niveau d'intérêt parmi les chercheurs va croissant. Les résultats d'études passées ont clarifié que la musique influence et affecte les nerfs crâniens du foeutus à l'adulte. Les effets de la musique au niveau cellulaire n'ont pas été clarifiés, et les mécanismes d'action pour les effets de la musique sur le cerveau n'ont pas été élucidés. 

Nous proposons qu'écouter de la musique facilite la genèse neuronale, la régénération et la réparation de nerfs cérébraux en ajustant la sécrétion d'hormones stéroïdiennes, au premier plan de la plasticité cérébrale. La musique a une influence sur certains niveaux de stéroïdes comme le cortisol, la testostérone et les oestrogènes, et nous croyons que la musique influence aussi les gènes récepteurs de ces substances et les protéines reliées. 

Dans la prévention de la maladie d'Alzheimer et de démences, la thérapie d'hormones de substitution a montré de l'efficacité, mais en même temps, des effets secondaires ont été rapportés, et l'application clinique de la thérapie par hormones de substitution est exposée a un sérieux challenge. 

Inversement, la musique est non invasive, et son existence est universelle et banale. Donc, si la musique peut être utilisée dans le soin médical, l'application d'une option thérapeutique si sûre et bon marché est sans limites. 

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